Il y a tellement de choses à raconter que je n'arrive pas dans ma pauvre tête à faire le tri. Ca fait longtemps que je n'ai pas écrit et les nouvelles se sont bousculées. Monsieur le Dez, mon prof de français en sixième me disait pourtant que j'étais assez douée en rédaction et que je savais faire un plan. Mais là je sèche. Je ne vais pas appeler monsieur le Dez au secours tout de même, un parce que nous ne nous aimions pas tellement, deux je dois avouer que j'ignore s'il est encore en vie. Je vais donc devoir me dépatouiller toute seule.
Dans l'ordre de mes pensées j'ai compris que si Nick avait des absences scripturales, il a l'air de ne pas tellement supporter les miennes. Je n'ai pas pu lui écrire pendant deux semaines. La première semaine c'était un peu la course, et la seconde je suis partie en vacances (je viens de rentrer). Voilà qu'en allumant mon mobile pour consulter mes messages depuis le lieu ou j'étais censée être vacancière (en fait j'avais et j'ai toujours une énorme angine) j'entends une voix inconnue qui sur ma messagerie s'étonne de ne pas avoir de mes nouvelles et laisse un long message.
C'était Nick ! Il voulait me remercier pour le mandat et me l'avait déjà écrit, mais je n'avais pas répondu comme expliqué plus haut. Ca m'a fait un plaisir immense de savoir que je lui manquais et que l'absence de réponse à ses remerciements l'inquiétait. Ce lien que je cherche à tisser depuis le début commence à exister très concrètement. Rentrée tard hier soir, j'ai profité du sommeil des filles pour écrire un petit mot à Nick vite fait afin qu'il soit posté aujourd'hui pour que Nick ne soit pas trop sur les dents.
Ce matin le téléphone sonne à la maison :
"Allô Marina, c'est Nick."
Et je m'entends :
- Salut Nick, comment tu vas ?
- Ca roule et toi ?
- Ca va très bien, écoute je suis désolée, j'étais pas là je viens de rentrer, mais j'ai bien reçu ta lettre, je t'ai écrit un petit mot hier soir tard.
-Ah oui j'étais un peu inquiet... Tout va bien alors.
- Oui, oui.
Bref c'était parti tout seul ou presque...
Juste ensuite il m'a dit :
- C'est l'heure ou ça va couper je te rappelerai.
J'ai dit : "on se rappelle" comme je l'aurais dit à n'importe qui.
C'est un peu con sans doute, parce qu'évidemment je ne peux pas l'appeler. Mais on ne peut pas changer le fait que je sois dehors et lui dedans. Curieusement après toute cette excitation téléphonique j'ai un peu le blues. J'ai beaucoup de choses à vous raconter encore, notamment sur le permis de visite pour lequel j'ai des nouvelles. Mais les histoires les plus courtes sont les meilleures, ce sera l'objet d'un prochain post très très vite !
Dans l'ordre de mes pensées j'ai compris que si Nick avait des absences scripturales, il a l'air de ne pas tellement supporter les miennes. Je n'ai pas pu lui écrire pendant deux semaines. La première semaine c'était un peu la course, et la seconde je suis partie en vacances (je viens de rentrer). Voilà qu'en allumant mon mobile pour consulter mes messages depuis le lieu ou j'étais censée être vacancière (en fait j'avais et j'ai toujours une énorme angine) j'entends une voix inconnue qui sur ma messagerie s'étonne de ne pas avoir de mes nouvelles et laisse un long message.
C'était Nick ! Il voulait me remercier pour le mandat et me l'avait déjà écrit, mais je n'avais pas répondu comme expliqué plus haut. Ca m'a fait un plaisir immense de savoir que je lui manquais et que l'absence de réponse à ses remerciements l'inquiétait. Ce lien que je cherche à tisser depuis le début commence à exister très concrètement. Rentrée tard hier soir, j'ai profité du sommeil des filles pour écrire un petit mot à Nick vite fait afin qu'il soit posté aujourd'hui pour que Nick ne soit pas trop sur les dents.
Ce matin le téléphone sonne à la maison :
"Allô Marina, c'est Nick."
Et je m'entends :
- Salut Nick, comment tu vas ?
- Ca roule et toi ?
- Ca va très bien, écoute je suis désolée, j'étais pas là je viens de rentrer, mais j'ai bien reçu ta lettre, je t'ai écrit un petit mot hier soir tard.
-Ah oui j'étais un peu inquiet... Tout va bien alors.
- Oui, oui.
Bref c'était parti tout seul ou presque...
Juste ensuite il m'a dit :
- C'est l'heure ou ça va couper je te rappelerai.
J'ai dit : "on se rappelle" comme je l'aurais dit à n'importe qui.
C'est un peu con sans doute, parce qu'évidemment je ne peux pas l'appeler. Mais on ne peut pas changer le fait que je sois dehors et lui dedans. Curieusement après toute cette excitation téléphonique j'ai un peu le blues. J'ai beaucoup de choses à vous raconter encore, notamment sur le permis de visite pour lequel j'ai des nouvelles. Mais les histoires les plus courtes sont les meilleures, ce sera l'objet d'un prochain post très très vite !
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