Et oui une semaine que je n'ai rien posté. Quelle vilaine flemmarde. Je mérite le fouet, ou le fil... du téléphone. J'aurais pu blablater très vite et ai failli le faire. Mais j'ai souhaité garder un peu ça pour moi toute seule. Ce n'est pas très gentil, mais je n'ai jamais prétendu être Marraine la Fée, ce qui me prive de baguette magique hélas !
En parlant de baguette magique, mon téléphone (si si il est en forme de baguette, il y a un rapport) a encore sonné la semaine dernière.Toujours vers 13h20. J'ai décroché le plus naturellement du monde. Et j'ai entendu la voix de mon cher Nick qui devient familière et fait un peu moins paniquer mes neurones. Je me suis précipitée sur ma machine à café pour me faire couler un petit noir et doper mon adréline un peu plus. Ce n'était pas tellement pas la peine, mais ça m'a détendue. Paradoxal pour un café, je vous l'accorde.
Si détendue d'ailleurs que nous avons devisé de beaucoup de choses légèrement, puis sérieusement. Nick s'est un peu livré sur son parcours dedans et visiblement ça a été très difficile jusqu'à Poissy où il affirme se sentir bien. Evidemment son parcours implique l'emploi de certains qualificatifs qui n'appartiennent pas aux gens que je vois par habitude : "violent et très dangereux". Voilà comment Nick a été considéré au début de sa détention. Je n'ai pas posé de questions au téléphone. Mais il est vrai que ça a fait tricoter mes quelques neurones. Même si ces derniers sont un peu aguerris de ce côté. Bref, il semble mieux et tellement mieux à Poissy, qu'il envisage ...
... de faire des études. Et Nick est très cohérent puisqu'il souhaite faire un CAP de pâtissier, puis un CAP de cuisinier, suivi d'un BEP (cuisinier également). Nous voilà équipés pour quelques années. Comme je le lui ai écrit je suis très fière de lui. Nick a l'air d'aimer beaucoup la cuisine et ça collerait sans doute assez bien au personnage, pour ce que j'en sais. Il a des projets, enfin ! Youpi !
Voilà pour cette conversation qui aura duré la bagatelle de 13 minutes et 49 secondes. Mon téléphone-baguette enregistre le temps de conversation et le laisse affiché à l'écran assez longtemps pour que l'on puisse y jeter un oeil. Je me laisse donc aller à considérer que c'est un quart d'heure (moins une minute et de touts petits brouettes) !
Je n'aurais pas imaginé avoir Nick en ligne si longtemps, ni que nous parlerions de sujets aussi graves, puis prometteurs. Je n'aurais jamais pensé non plus que les mots viendraient aussi facilement. C'est terriblement difficile d'essayer d'être une bonne marraine. Mais quand on y arrive pendant quelques minutes, c'est une sacrée récompense. J'ai failli lui dire que je l'embrassais à la fin de la conversation, mais je n'ai pas osé. Je ne souhaitais pas que celà puisse être interprété d'une façon ou d'une autre.
Depuis cette longue parlotte, silence radio. Je ne doute pas que Nick donnera des nouvelles bientôt. J'espère qu'il va bien et je lui ai écrit évidemment.
Silence radio aussi du côté de la Police et de sa fameuse enquête !
Et me voici à nouveau avec une compagne connue : l'attente !
A très vite.
En parlant de baguette magique, mon téléphone (si si il est en forme de baguette, il y a un rapport) a encore sonné la semaine dernière.Toujours vers 13h20. J'ai décroché le plus naturellement du monde. Et j'ai entendu la voix de mon cher Nick qui devient familière et fait un peu moins paniquer mes neurones. Je me suis précipitée sur ma machine à café pour me faire couler un petit noir et doper mon adréline un peu plus. Ce n'était pas tellement pas la peine, mais ça m'a détendue. Paradoxal pour un café, je vous l'accorde.
Si détendue d'ailleurs que nous avons devisé de beaucoup de choses légèrement, puis sérieusement. Nick s'est un peu livré sur son parcours dedans et visiblement ça a été très difficile jusqu'à Poissy où il affirme se sentir bien. Evidemment son parcours implique l'emploi de certains qualificatifs qui n'appartiennent pas aux gens que je vois par habitude : "violent et très dangereux". Voilà comment Nick a été considéré au début de sa détention. Je n'ai pas posé de questions au téléphone. Mais il est vrai que ça a fait tricoter mes quelques neurones. Même si ces derniers sont un peu aguerris de ce côté. Bref, il semble mieux et tellement mieux à Poissy, qu'il envisage ...
... de faire des études. Et Nick est très cohérent puisqu'il souhaite faire un CAP de pâtissier, puis un CAP de cuisinier, suivi d'un BEP (cuisinier également). Nous voilà équipés pour quelques années. Comme je le lui ai écrit je suis très fière de lui. Nick a l'air d'aimer beaucoup la cuisine et ça collerait sans doute assez bien au personnage, pour ce que j'en sais. Il a des projets, enfin ! Youpi !
Voilà pour cette conversation qui aura duré la bagatelle de 13 minutes et 49 secondes. Mon téléphone-baguette enregistre le temps de conversation et le laisse affiché à l'écran assez longtemps pour que l'on puisse y jeter un oeil. Je me laisse donc aller à considérer que c'est un quart d'heure (moins une minute et de touts petits brouettes) !
Je n'aurais pas imaginé avoir Nick en ligne si longtemps, ni que nous parlerions de sujets aussi graves, puis prometteurs. Je n'aurais jamais pensé non plus que les mots viendraient aussi facilement. C'est terriblement difficile d'essayer d'être une bonne marraine. Mais quand on y arrive pendant quelques minutes, c'est une sacrée récompense. J'ai failli lui dire que je l'embrassais à la fin de la conversation, mais je n'ai pas osé. Je ne souhaitais pas que celà puisse être interprété d'une façon ou d'une autre.
Depuis cette longue parlotte, silence radio. Je ne doute pas que Nick donnera des nouvelles bientôt. J'espère qu'il va bien et je lui ai écrit évidemment.
Silence radio aussi du côté de la Police et de sa fameuse enquête !
Et me voici à nouveau avec une compagne connue : l'attente !
A très vite.
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